
Alors que les services secrets Français ont niés l'existence d'un tel dispositif, la CNIL réitère dans un communiqué son inquiétude et demande des précisions auprès du premier ministre français. Dans ce communiqué la commission précise que dans un état de droits, « aucune considération ne saurait justifier une surveillance généralisée et indifférenciée de la population, pas plus que la mécanisation de cette surveillance ».
L'été dernier, le journal Le Monde affirmait que l’État français disposait d'un système d'écoutes illégal et clandestin comparable à celui des États-Unis.
Source : Article du CNIL
Source : Article Le Monde

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