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Microsoft : « Nous ne sommes plus en guerre contre l'open-source »
Interview de Alfonso Castro, Directeur de la Stratégie Interopérabilité

Le , par Gordon Fowler

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Sponsor Platinium d'un des plus importants événements Java sur Paris (le What's Next), présent au Salon Solutions Linux du mois dernier, soutien à Node.js annoncé aujourd'hui, Microsoft multiplie les signes d'apaisement et de bonne volonté auprès des communautés open-sources. Ces deux évènements et cette annonce étaient l'occasion de faire le point sur les relations, historiquement assez tendues, entre l'entreprise commerciale Microsoft et les communautés bénévoles de développeurs.

C'est ce que nous avons fait cette semaine lors d'un entretien avec Alfonso Castro, Directeur de la stratégie Interopérabilité chez Microsoft France, dont les réponses vont à l'encontre de nombreuses idées reçues.


Alfonso Castro

Pourquoi Microsoft a-t-il voulu participer à What’s Next ?

Alfonso Castro : La première raison c’est que What’s Next a été organisé par Zenika. Je tiens à leur tirer mon chapeau. C’est une petite société que nous avons soutenue sur plusieurs opérations qu’ils ont montées parce que, toutes proportions gardées, ils ont une démarche d’ouverture très similaire à la notre : très pragmatique. Ils sont très axés open-source mais sans dogme, avec une volonté d’avancer ensemble malgré des histoires très différentes. C’est une démarche très positive.

De manière plus profonde, nous sommes venus parce que Microsoft a engagé une vraie stratégie d’interopérabilité il y a de cela 5 ans. Le premier sillon que nous avons creusé a été Linux, en allant jusqu’à contribuer au noyau.

Plus récemment nous avons travaillé sur PHP et sur Java. Deux outils que l’on retrouve concrètement dans Windows Azure, notre plate-forme Cloud qui permet de faire tourner des applications développées avec ces deux technologies.

En participant au What’s Next nous voulions le rappeler, montrer que nous n’avons pas de problème particulier à nous afficher dans une manifestation Java. Et dire aux développeurs Java, “si vous souhaitez mettre du code dans le Cloud, le notre vous accueille avec plaisir”.

L’histoire entre Microsoft et Java a été agitée, qu’en est-il aujourd’hui ?

AC : En fait non, elle n’est pas agitée. Il y a concurrence claire entre l’environnement Java et .NET. Faire de l’interopérabilité ne veut pas dire que, tout à coup, tous les environnements seront les mêmes. L’interopérabilité c’est la prise en compte d’environnements tiers et la volonté de travailler ensemble pour nos clients communs.

Java et .NET ont juste des visions différentes. Ce que je veux dire par là c’est qu’avec .NET nous avons une feuille de route précise, fixée uniquement par nous. Du coté de Java - et je tiens à dire que ce n’est pas négatif - la vision est plus axée sur la communauté, ce qui peut poser des problèmes de roadmaps plus complexes. Mais cette dimension communautaire apporte d’autres éléments. La complexité de la gestion peut par exemple être contre-balancée par l’émergence d’idées nouvelles.

Mais malgré ces visions différentes et cette concurrence, nous avons cherché depuis maintenant 10 ans, et de part et d’autre d’ailleurs, à favoriser l’interopérabilité entre les deux mondes.

C’était petit il y a quelques années, on travaillait par exemple sur des drivers de bases de données, des choses très pointues. Et aujourd’hui on va beaucoup plus loin...

Je ne pensais pas tellement à la différence de vision ou à la concurrence entre les deux technologies. Je pensais plus aux procès qui ont émaillé l’histoire entre Microsoft et Java.

AC : Ces aspects juridiques sont maintenant assez anciens. On a eu effectivement quelques déboires avec Sun, mais cela remonte à 10 ans. Tout cela s’est fini par un accord et nos clients communs n’ont pas été impactés.

Cela n’a d’ailleurs fait qu’accélérer - des deux côtés - la volonté de collaborer.

Microsoft à l’air de s’intéresser particulièrement à Java mais aussi de vouloir s’ouvrir aux technologies open-sources en général (vous étiez présent par exemple au salon Solutions Linux) : pourquoi ?

AC : En février 2008, nous avons lancé les principes d’interopérabilité. A l’époque ce n’était que des intentions, que du “faites nous confiance, ça va aller mieux”.

Depuis on est dans le concret, nous livrons du code. Nous faisons nous-mêmes un peu d’open-source (je dis “un peu” parce que je ne veux surtout pas laisser entendre que nous sommes devenus une société open-source !).

Je pense que nous avons suffisamment de preuves concrètes aujourd’hui qui montrent que nous ne sommes plus du tout en opposition aux principes de l’open-source. Même si il y a concurrence, par exemple entre Linux et Windows. L’essentiel c’est que les gens comprennent qu’on peut parfaitement faire du Java et de l’open-source dans un environnement Windows.

Mais pourquoi avoir pris ce virage vers l’ouverture ?

AC : Ce n’est pas un virage. C’est quasiment une redéfinition de la plateforme Microsoft sur le marché.

On veut que cette plate-forme soit un socle pour tout type de technologies. Par “tout type”, j’entends “tout type qui veut bien jouer le jeu”.

Il y a des gens qui ne veulent pas collaborer avec nous. C’est leur droit le plus strict. Mais forcément, on aura plus de difficultés à concrétiser une ouverture.

Cette redéfinition se traduit concrètement par un travail plus fin en matière de virtualisation, parce que c’est le premier étage de l’interopérabilité, et en matière d’administration système (en particulier, chez nous, sur System Center pour ne pas le nommer).

Évidemment, en faisant cela, nous augmentons nos opportunités commerciales et notre présence dans des secteurs où nous n’étions pas présents. Mais nous le faisons toujours dans un esprit de choix.

Le but c’est d’aller voir nos clients en leur disant : “Nous, on vous propose des outils de base en terme d'infrastructure qui sont uniques ; et par dessus, vous allez pouvoir mettre ce que vous voulez en fonction de la stratégie informatique que vous aurez définie”.

En plus cela permet au client de garder sur nous une certaine pression commerciale, dans le sens où cela nous met en concurrence avec d’autres technologies. Après, à nous de montrer que la meilleure solution est chez nous.

En somme, l’open-source vous permet de pousser la porte de nouveaux marchés ?

AC : Exactement. C’est tout à fait cela.

L’intérêt de Microsoft pour Java s’arrête-t-il à l’interopérabilité avec Azure ou envisagez-vous d’autres synergies ?

AC : Il y a forcément d’autres synergies. Historiquement, l’interopérabilité entre .NET et Java a commencé dans le “on-premise”, sur site. Donc déjà, on a beaucoup d’éléments qui nous permettent d’activer des APIs Java depuis des environnements Windows. Ou d’intégrer des bases de données SQL, avec la logique .NET qu’il peut y avoir dedans, en relation avec le monde Java.

Il y a aussi et effectivement Java dans Azure.

Mais ce qu’il faut bien comprendre c’est la stratégie Cloud de Microsoft dans son ensemble. Un Cloud à la fois public et privé.

Nous proposons deux choses aux entreprises : de gérer elles-mêmes une parties de leurs Clouds (la partie privée donc), et de gérer pour elles la partie qu’elles voudront bien nous confier. Et en plus, nous voulons proposer un fonctionnement dans lequel il y a transparence entre les deux et dynamisme, au sens applicatif du mot, entre les deux environnements.

Autrement dit, depuis votre console, vous allez pouvoir balader au gré de vos contraintes budgétaires, techniques ou stratégiques, vos applications du privé vers Azure et inversement.

Pour faire cela, il faut la capacité pour Azure de faire tourner du code Java. Et pour Java la capacité de tourner sur le socle Windows.

Donc dans le le futur (on y est pas encore) on pourra faire tourner de manière totalement transparente des applications .NET ou Java que ce soit sur Azure ou sur Windows Server.

Tout ceci est lié à la capacité à travailler en bonne entente avec la communauté Java et, depuis peu, avec Oracle. Comment voyez-vous le rachat de Sun par Oracle et les changements qu’il provoque ?

AC : Je pense qu’il faudrait plutôt poser la question aux communautés Java.

De notre côté, nous avons de très bonnes relations avec beaucoup de communautés. Avec la communauté Java historiquement moins qu’avec la communauté PHP, c’est vrai.

Mais ce que montre notre expérience, c’est que travailler avec le milieu open-source quand on ne l’est pas est parfaitement faisable, et même assez rafraîchissant et gratifiant.

On a fait des choses extraordinaires avec la communauté PHP, par exemple. Je voudrais citer celle de Symfony (qui est assez francophone) et celle de Drupal. Nous, nous respectons leur approche open-source, et eux respectent notre approche plus commerciale. La seule chose qui nous intéresse, j’insiste, c’est de faire du concret et de mettre à la disposition de nos clients communs les solutions qui les arrangent.

Après, est-ce que Oracle va arriver à faire cela avec les communautés Java ? Je pense qu’il faut laisser parler l’avenir.

Chez Microsoft, nous ne sommes pas dépendants de tout cela. Nous avons nos propres solutions. En revanche, nous souhaitons que ces solutions fonctionnent le mieux possible avec le monde Java. Tout ce que l’on espère c’est que Oracle et les communautés Java arriveront à travailler ensemble, ce qui nous permettra à nous de travailler correctement avec l’un et/ou l’autre. Mais si possible avec les deux.

D’ailleurs au passage, puisqu’on parle d’Oracle... nous sommes concurrents, mais il y a aussi plein de projets sur lesquels on a travaillé ensemble. L’interopérabilité entre nos bases de données, par exemple, est un vieux sujet.

Quelle différence faites-vous entre l’interopérabilité et l’ouverture ?

AC : L’interopérabilité, c’est le niveau technologique. L’ouverture va beaucoup plus loin. Déjà, il y a une dimension plus stratégique. Et c’est surtout comprendre les autres avec un respect profond.

Quand je dis que nous nous sommes ouverts et que l’on respecte PHP, Drupal ou Symfony par exemple, c’est que nous nous sommes parlés ; nous nous nous sommes expliqués nos stratégies. L’ouverture ce n’est pas simplement de se dire “ton truc marche pas avec le mien, ce serait super que ça fonctionne, on fait un communiqué et on y va !”. Non. Derrière il y a des discussions qui vont plus loin que cela.

Une exemple d’ouverture c’est qu’une personne aussi importante que Neal Gafter, un ancien de Sun passé par Google, Javaiste convaincu, un des piliers techniques de la technologie dans ses premières années, extrêmement connu dans la communauté Java, puisse travailler chez Microsoft.

Il a d’ailleurs fait un malheur au What’s Next en reprenant l’Histoire de Java pour préciser des points clefs. C’était vraiment super sympa et très intéressant. Une véritable preuve de son ouverture c’est que ce pionnier de Java travaille aujourd’hui sur C# et .NET (rire)... Et qu’il n’a absolument pas démonté Java ! Au contraire. Il suit de très prêt l’évolution de son bébé dont il est très fier.

De votre côté, quel bilan faîtes-vous de ces 10 années d’ouverture vers les communautés ?

AC : Il y a 10 ans, nous entretenions des relations extrêmement difficiles avec l’open-source. Je pense que les deux parties - et je nous inclus - contribuait largement à cette situation.

Depuis, les deux parties - et la balle était largement dans notre camp - ont cherché à travailler ensemble.

Nous avons commencé petit. Par exemple avec PHP, on a travaillé sur un accélérateur simplement parce que nous avions des performances qui étaient moins bonnes que sur Linux.

On est allé voir la communauté PHP. On leur a dit : “Voila, on a un problème, est-ce que ça vous intéresse ?”. On s’attendait à tout type de réponse. Mais eux ils nous ont dit : “Attendez... on est super pragmatique ! On est pas plus Linuxien qu’autre chose. Simplement de manière historique on a développé sur Linux parce que c’était open-source. Maintenant, vous, vous avez 80 % du marché. Comment voulez-vous qu’on refuse de travailler avec vous ? Donc, on va vous aider. D'accord... mais c’est vous qui faîtes le boulot”.

On leur à dit oui, et que le résultat serait open-source et sous licence Apache. Le fait qu’on travaille avec leurs conditions leur a plu. Et c’est comme cela qu’on a commencé. Et depuis on a pas arrêté.

On vient effectivement d’un monde où les choses étaient complexes entre l’open-source et nous. Aujourd’hui, c’est beaucoup plus calme. Il reste des dogmatiques, c’est vrai, et il y en aura toujours. Mais nous ne sommes plus du tout en guerre avec l’open-source. Cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas concurrence techno par techno, mais il n’y a pas du tout de problème par rapport au modèle lui-même.

Et inversement, partout dans le monde, l’immense majorité des communautés viennent nous voir. Après on travaille ensemble ou pas, c’est une autre question et des relations professionnelles normales. Mais dix ans après, on est plus du tout en train de se regarder en chien de faïence en se disant “moi je suis le bien, et toi tu es le mal”.

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Avatar de palnap
Membre averti https://www.developpez.com
Le 27/06/2011 à 3:39
J'ajouterai que je préfère la mentalité de Microsoft de collaborer épisodiquement avec le monde de l'Open Source en partageant les connaissances de leurs produits avec les communautés dans le but d'améliorer l'interopérabilité avec les solutions que celle d'Apple qui consiste plus à piller le monde Open Source en intégrant des solutions libres sous licence pas trop restrictive puis en verrouillant bien le tout à l'utilisateur avec une UI playskool et une impossibilité d'accéder au système autrement que par des API propriétaires en payant une dîme pour pouvoir y exécuter du code (je pense à iOS et aux 99$ à payer pour pouvoir exécuter SON propre code sur SON iDevice). Sans parler de l'interdiction des apps open source sur l'Apple Store (qui est le passage obligé pour l'utilisateur lambda qui souhaite lancer une app)...
11  2 
Avatar de Neko
Membre chevronné https://www.developpez.com
Le 24/06/2011 à 13:06
Citation Envoyé par Gordon Fowler Voir le message
...
Mais dix ans après, on est plus du tout en train de se regarder en chien de faïence en se disant “moi je suis le bien, et toi tu es le mal”.
Si seulement ça pouvait être vrai! ...
Je ne parles pas des entreprises, mais des utilisateurs, ya encore beaucoup trop qui sont anti-machin ou anti-truc.
6  0 
Avatar de stardeath
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 26/06/2011 à 23:37
Citation Envoyé par pierreact Voir le message
... je vis tres bien sans utiliser quoi que ce soit de chez microsoft et je me refuse a utiliser quoique ce soit de chez eux.

Apres les coups bas, les foutages de gueule etc ils font les "gentils"?
Et bin non... pas avec moi, merci.
les foutages de gueule il y en a partout, même dans le libre et l'open source.

ceux qui se font leurrer, c'est justement ceux qui croient que le libre et l'open source sont la solution à tout et surtout n'importe quoi.
7  3 
Avatar de palnap
Membre averti https://www.developpez.com
Le 27/06/2011 à 3:13
Citation Envoyé par Chuck_Norris Voir le message
Après des années de coups bas signés Microsoft, je rappelle quelques exemples :
- Gigantesque campagne anti-Linux "Get the facts" affirmant que celui-ci coûtait plus cher
- Même chose plus récemment concernant Office contre Open Office
- Campagne anti-libre affirmant que le logiciel libre et Linux était une maladie contagieuse
- Opération médiatique en affirmant que le noyau Linux viole des dizaines de leurs brevets, sans avoir jamais montré les brevets en question

Je préfère voir des actes plutôt que des promesses, et pour l'instant la majorité des actes Microsoft sont des déclarations de guerre à Linux et l'Open Source.
Le monde de l'open source ne se réduit pas à Linux et c'est tout à fait normal que Microsoft cherche à faire du tort à son principal concurrent sur le marché des serveurs... Pareil avec le concurrent direct d'Office. Je ne vois pas en quoi ça ne remet pas en cause leur volonté d'ouverture au monde(s) du libre.

Il est normal que Microsoft "utilise" l'open source dans ses propres intérêts, comme le font les autres (Apple, Oracle, IBM, ...), c'est une question de stratégie. Je trouve cela plutôt vertueux de leur part d'ouvrir un peu .NET et Azure et de créer des ponts avec les mondes PHP et Java. Tant que ça profite aux communautés et aux utilisateurs, où est le mal?

Oublions pas que si le libre a pris, c'est aussi parce que des grosses boites ont trouvé des manières de faire du pognon avec (et encore une fois, je pense que ça profite à tous).
5  1 
Avatar de kdmbella
Expert éminent https://www.developpez.com
Le 24/06/2011 à 14:29
« Nous ne sommes plus en guerre contre l’open-source »
s'il afirme ceci cella signifie qu'avant il était réellement en guerre contre l'open source, mais malheureusement ou heureusement une guerre non déclarée
5  2 
Avatar de xulien
Membre actif https://www.developpez.com
Le 24/06/2011 à 15:04

Beaucoup de pro OpenSource sont comme en croisade ! C'est ce qui rend très difficile le dialogue !
Parce que l'OpenSource a ces origines dans le Logiciel Libre, qui lui est avant tout ideologique!
3  0 
Avatar de Paul TOTH
Expert éminent sénior https://www.developpez.com
Le 24/06/2011 à 15:28
Citation Envoyé par xulien Voir le message
Parce que l'OpenSource a ces origines dans le Logiciel Libre, qui lui est avant tout ideologique!
on m'a souvent dit que faire de l'OpenSource sous Delphi (et donc Windows) ce n'était pas faire de l'OpenSource... ce avec quoi je ne suis pas d'accord évidement
2  0 
Avatar de Elepole
Membre éprouvé https://www.developpez.com
Le 27/06/2011 à 0:52
Citation Envoyé par stardeath Voir le message
les foutages de gueule il y en a partout, même dans le libre et l'open source.

ceux qui se font leurrer, c'est justement ceux qui croient que le libre et l'open source sont la solution à tout et surtout n'importe quoi.

Surtout que l’open source est majoritairement financer par des entreprise telle que IBM, Oracle ou Google qui sont pas plus gentille que Microsoft lorsqu'il s'agit de business. En fait c'est ça qui m’insupporte chez les fan-boy open source, penser que Microsoft est méchant. C'est juste une entreprise comme une autre !
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Avatar de stardeath
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 03/07/2011 à 10:28
mouais, qui est vraiment le responsable, microsoft tel que tu l'as cité, ou sun, qui a toujours joué le fourbe avec sa techno "open source" au demeurant ultra propriétaire et ultra conservateur dont la tradition est encore plus marqué par oracle?

des ennuis il y en a partout.
5  3 
Avatar de Jon Shannow
Membre extrêmement actif https://www.developpez.com
Le 04/07/2011 à 9:29
@psychadelic >>> J'aime beaucoup le "J'ai perdu mon boulot à cause de Microsoft" Tu crois pas que c'est plutôt un mauvais choix de ta boite, plutôt qu'une quelconque responsabilité de Microsoft ?
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